mercredi 27 février 2013

MARGUERITE BARANKITSE, UNE BURUNDAISE QUI MÉRITE LE PRIX NOBEL DE LA PAIX.



Cette femme Tutsi s’est d’abord distinguée le 25 Octobre 1995, lors de la guerre civile au Burundi en adoptant un vingtaine d’enfants sans distinction d’appartenance ethnique. Elle a même frôlé la mort sous la menace des machettes criminelles. Mais rien n’y fit. Ce bout de dame est un roc, un personnage de silex animé par la générosité et la vérité. Je l’ai découvert pour la première fois sur une chaine de télévision internationale et je suis tombé sous le charme son œuvre méconnue peut-être parce qu’elle est en cours. Que Dieu la protège des multiples tentations.

 Aujourd’hui elle est à des milliers d’adoption et compte à son actif des dizaines de prix internationaux dont le PRIX NOBEL POUR ENFANTS reçu des mains de la reine Sylvia de Suède.  

En Décembre 1998,  elle décroche la prestigieuse Médaille de défenseur des droits de l'homme attribué par le gouvernement français dans le cadre des cérémonies de la célébration du 50ème anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme. À ce jour, dix personnes ont reçu cette distinction, dont le Dalaï-lama et Rigoberta Menchu.

En 2004 déjà, plus de 20 000 enfants ont bénéficié directement ou indirectement de son programme. Une fille qu’elle a adoptée lorsqu’elle avait 16 ans a obtenu aujourd’hui son doctorat de Médecine et travail à l’hôpital de la « MAISON SHALOM » ; LA MAISON SHALOM, une ancienne école transformée en refuge lors de la guerre civile et qui est devenue le lieu et le symbole « vivant » de ce combat pour la préservation de la dignité et de la vie humaine.

Maggy a réussi à mobiliser des fonds pour bâtir un hôpital moderne et son action s’est étendue dans plusieurs villes de ce magnifique pays des grands lacs déchiré par de sourdes rivalités ethniques qui sont loin d’être une fatalité. Marguerite en est la preuve vivante.

Khalifa Touré

MARGUERITE BARANKITSE, UNE BURUNDAISE QUI MÉRITE LE PRIX NOBEL DE LA PAIX.



Cette femme Tutsi s’est d’abord distinguée le 25 Octobre 1995, lors de la guerre civile au Burundi en adoptant un vingtaine d’enfants sans distinction d’appartenance ethnique. Elle a même frôlé la mort sous la menace des machettes criminelles. Mais rien n’y fit. Ce bout de dame est un roc, un personnage de silex animé par la générosité et la vérité. Je l’ai découvert pour la première fois sur une chaine de télévision internationale et je suis tombé sous le charme son œuvre méconnue peut-être parce qu’elle est en cours. Que Dieu la protège des multiples tentations.

 Aujourd’hui elle est à des milliers d’adoption et compte à son actif des dizaines de prix internationaux dont le PRIX NOBEL POUR ENFANTS reçu des mains de la reine Sylvia de Suède.  

En Décembre 1998,  elle décroche la prestigieuse Médaille de défenseur des droits de l'homme attribué par le gouvernement français dans le cadre des cérémonies de la célébration du 50ème anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme. À ce jour, dix personnes ont reçu cette distinction, dont le Dalaï-lama et Rigoberta Menchu.

En 2004 déjà, plus de 20 000 enfants ont bénéficié directement ou indirectement de son programme. Une fille qu’elle a adoptée lorsqu’elle avait 16 ans a obtenu aujourd’hui son doctorat de Médecine et travail à l’hôpital de la « MAISON SHALOM » ; LA MAISON SHALOM, une ancienne école transformée en refuge lors de la guerre civile et qui est devenue le lieu et le symbole « vivant » de ce combat pour la préservation de la dignité et de la vie humaine.

Maggy a réussi à mobiliser des fonds pour bâtir un hôpital moderne et son action s’est étendue dans plusieurs villes de ce magnifique pays des grands lacs déchiré par de sourdes rivalités ethniques qui sont loin d’être une fatalité. Margerite en est la preuve vivante.

Khalifa Touré

MARGUERITE BARANKITSE, UNE BURUNDAISE QUI MÉRITE LE PRIX NOBEL DE LA PAIX.



Cette femme Tutsi s’est d’abord distinguée le 25 Octobre 1995, lors de la guerre civile au Burundi en adoptant un vingtaine d’enfants sans distinction d’appartenance ethnique. Elle a même frôlé la mort sous la menace des machettes criminelles. Mais rien n’y fit. Ce bout de dame est un roc, un personnage de silex animé par la générosité et la vérité. Je l’ai découvert pour la première fois sur une chaine de télévision internationale et je suis tombé sous le charme son œuvre méconnue peut-être parce qu’elle est en cours. Que Dieu la protège des multiples tentations.

 Aujourd’hui elle est à des milliers d’adoption et compte à son actif des dizaines de prix internationaux dont le PRIX NOBEL POUR ENFANTS reçu des mains de la reine Sylvia de Suède.  

En Décembre 1998,  elle décroche la prestigieuse Médaille de défenseur des droits de l'homme attribué par le gouvernement français dans le cadre des cérémonies de la célébration du 50ème anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme. À ce jour, dix personnes ont reçu cette distinction, dont le Dalaï-lama et Rigoberta Menchu.

En 2004 déjà, plus de 20 000 enfants ont bénéficié directement ou indirectement de son programme. Une fille qu’elle a adoptée lorsqu’elle avait 16 ans a obtenu aujourd’hui son doctorat de Médecine et travail à l’hôpital de la « MAISON SHALOM » ; LA MAISON SHALOM, une ancienne école transformée en refuge lors de la guerre civile et qui est devenue le lieu et le symbole « vivant » de ce combat pour la préservation de la dignité et de la vie humaine.

Maggy a réussi à mobiliser des fonds pour bâtir un hôpital moderne et son action s’est étendue dans plusieurs villes de ce magnifique pays des grands lacs déchiré par de sourdes rivalités ethniques qui sont loin d’être une fatalité. Margerite en est la preuve vivante.

Khalifa Touré

MARGUERITE BARANKITSE, UNE BURUNDAISE QUI MÉRITE LE PRIX NOBEL DE LA PAIX.



Cette femme Tutsi s’est d’abord distinguée le 25 Octobre 1995, lors de la guerre civile au Burundi en adoptant un vingtaine d’enfants sans distinction d’appartenance ethnique. Elle a même frôlé la mort sous la menace des machettes criminelles. Mais rien n’y fit. Ce bout de dame est un roc, un personnage de silex animé par la générosité et la vérité. Je l’ai découvert pour la première fois sur une chaine de télévision internationale et je suis tombé sous le charme son œuvre méconnue peut-être parce qu’elle est en cours. Que Dieu la protège des multiples tentations.

 Aujourd’hui elle est à des milliers d’adoption et compte à son actif des dizaines de prix internationaux dont le PRIX NOBEL POUR ENFANTS reçu des mains de la reine Sylvia de Suède.  

En Décembre 1998,  elle décroche la prestigieuse Médaille de défenseur des droits de l'homme attribué par le gouvernement français dans le cadre des cérémonies de la célébration du 50ème anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme. À ce jour, dix personnes ont reçu cette distinction, dont le Dalaï-lama et Rigoberta Menchu.

En 2004 déjà, plus de 20 000 enfants ont bénéficié directement ou indirectement de son programme. Une fille qu’elle a adoptée lorsqu’elle avait 16 ans a obtenu aujourd’hui son doctorat de Médecine et travail à l’hôpital de la « MAISON SHALOM » ; LA MAISON SHALOM, une ancienne école transformée en refuge lors de la guerre civile et qui est devenue le lieu et le symbole « vivant » de ce combat pour la préservation de la dignité et de la vie humaine.

Maggy a réussi à mobiliser des fonds pour bâtir un hôpital moderne et son action s’est étendue dans plusieurs villes de ce magnifique pays des grands lacs déchiré par de sourdes rivalités ethniques qui sont loin d’être une fatalité. Margerite en est la preuve vivante.

Khalifa Touré

MARGUERITE BARANKITSE, UNE BURUNDAISE QUI MÉRITE LE PRIX NOBEL DE LA PAIX.



Cette femme Tutsi s’est d’abord distinguée le 25 Octobre 1995, lors de la guerre civile au Burundi en adoptant un vingtaine d’enfants sans distinction d’appartenance ethnique. Elle a même frôlé la mort sous la menace des machettes criminelles. Mais rien n’y fit. Ce bout de dame est un roc, un personnage de silex animé par la générosité et la vérité. Je l’ai découvert pour la première fois sur une chaine de télévision internationale et je suis tombé sous le charme son œuvre méconnue peut-être parce qu’elle est en cours. Que Dieu la protège des multiples tentations.

 Aujourd’hui elle est à des milliers d’adoption et compte à son actif des dizaines de prix internationaux dont le PRIX NOBEL POUR ENFANTS reçu des mains de la reine Sylvia de Suède.  

En Décembre 1998,  elle décroche la prestigieuse Médaille de défenseur des droits de l'homme attribué par le gouvernement français dans le cadre des cérémonies de la célébration du 50ème anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme. À ce jour, dix personnes ont reçu cette distinction, dont le Dalaï-lama et Rigoberta Menchu.

En 2004 déjà, plus de 20 000 enfants ont bénéficié directement ou indirectement de son programme. Une fille qu’elle a adoptée lorsqu’elle avait 16 ans a obtenu aujourd’hui son doctorat de Médecine et travail à l’hôpital de la « MAISON SHALOM » ; LA MAISON SHALOM, une ancienne école transformée en refuge lors de la guerre civile et qui est devenue le lieu et le symbole « vivant » de ce combat pour la préservation de la dignité et de la vie humaine.

Maggy a réussi à mobiliser des fonds pour bâtir un hôpital moderne et son action s’est étendue dans plusieurs villes de ce magnifique pays des grands lacs déchiré par de sourdes rivalités ethniques qui sont loin d’être une fatalité. Margerite en est la preuve vivante.

Khalifa Touré